La Haute-Loire (43) rejoint Staying Alive.
Double bonne nouvelle pour Staying Alive ! Le SDIS 43 et le SAMU de la Haute-Loire ont rejoint l’aventure Staying Alive le vendredi 18 avril 2025. Nous sommes très heureux d’accueillir la Haute-Loire parmi les départements engagés à nos côtés pour renforcer la chaîne de survie.
Staying Alive en Haute-Loire : qu’est-ce que cela signifie ?
Concrètement, cela signifie qu’en cas d’arrêt cardiaque, des citoyens sauveteurs inscrits sur l’application Staying Alive pourront être déclenchés par le SAMU et le SDIS de la Haute-Loire pour débuter le massage cardiaque ou aller chercher le défibrillateur le plus proche, en attendant l’arrivée des professionnels. Une minute gagnée, c’est 10% de chances de survie en plus. Cette mobilisation citoyenne est donc primordiale.
Chaque nouveau département engagé, c’est un maillage plus dense, une réactivité renforcée et plus de vies potentiellement sauvées. C’est aussi un signal fort : celui d’un territoire qui choisit de faire confiance à ses habitants pour être acteurs de la solidarité.
On l’a vu dans La Loire, qui a rejoint l’aventure Staying Alive en septembre 2024, le nombre de citoyens sauveteurs a bondi de 60%.
Une dynamique impressionnante qui montre l’envie d’agir quand on en donne les moyens.
Alors bienvenue à la Haute-Loire qui compte aujourd’hui 1 200 citoyens sauveteurs.
Le SAMU 43 et le SDIS 43, tous deux signataires
Laurent Istria, Responsable du développement de Staying Alive s’est d’abord rendu à la caserne des pompiers pour la signature d’une convention en présence du Directeur du Cabinet du Préfet, M. Benoit de Lagarde, de la Présidente du SDIS de la Haute-Loire, Marie-Agnès Petit, du Directeur Départemental, le Colonel Frédéric Robert, du DDA, le Colonel Guillaume Ottavi, du Chef du Service Réponse Opérationnelle, le Capitaine Aymeric Volut et du Président de l’UDSP43, le Lieutenant Stéphane Ollier.
Direction ensuite pour le Centre hospitalier Émile Roux. Rencontre avec le médecin Julien Allirand, Bastien Piloix, directeur adjoint du CHU, Nicolas Barbut, l’ARM et Stéphane Monteil (cadre).